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Maintenant disponible !

  • Une étude sur les politiques de trois grands intermédiaires de l’internet, Facebook, YouTube et Twitter, concernant la violence envers les femmes en ligne.
  • La recherche sur l’élimination de la violence envers les femmes concentrée sur les violences liées à la technologie, des téléphones mobiles à l’internet dans sept pays.

Les intermédiaires de l’internet et la violence envers les femmes en ligne

Les intermédiaires de l’internet et la violence envers les femmes en ligne. Sommaire et conclusions

Les intermédiaires de l’internet et la violence envers les femmes en ligne. Facebook : Étude de cas

Les intermédiaires de l’internet et la violence envers les femmes en ligne. Twitter : Étude de cas

Les intermédiaires de l’internet et la violence envers les femmes en ligne. YouTube : Étude de cas

Recherche sur l’élimination de la violence envers les femmes : Résumés des cas des rapports-pays

Les résumés de cas suivants sont extraits de Mettre fin à la violence envers les femmes : Rapports-pays, qui concernent sept pays et qui font partie de la recherche commandée par le Programme d’appui aux réseaux des femmes de l’Association pour le progrès des communications (PARF d’APC) depuis 2013.

Les renseignements pouvant mener à une identification dans chaque pays ne sont pas inclus dans les résumés afin de protéger la vie privée des victimes. Ils sont plutôt classés par région : Afrique centrale et orientale, Amérique centrale et du Sud, Asie du Sud et du Sud-est, Europe du Sud-est. Les noms des victimes ont également été modifiés.

Recherche sur l’élimination de la violence envers les femmes : Résumés des cas des rapports-pays

D’autres documents seront publiés plus tard cette année.

Cette recherche fait partie du projet d’APC “Mettre fin à la violence : Les droits des femmes et la sécurité en ligne” financé par le ministère des Affaires étrangères du Danemark et s’appuie sur une alliance solide avec des partenaires dans sept pays : Bosnie-Herzégovine, Colombie, République Démocratique du Congo, Kenya, Mexique, Pakistan et les Philippines. Pour en savoir plus, veuillez consulter GenderIT.org et Take Back the Tech!