Skip to main content

Le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) a déjà été largement critiqué. Aujourd’hui une nouvelle étude d’APC conclut que le sommet « n’est pas le meilleur point de départ pour une nouvelle action ». Alors pourquoi enquêter sur l’expérience des délégations des pays en développement et de la société civile au Sommet? Parce que, selon l’auteur, « il est toujours important de tirer des leçons de l’expérience – en particulier lorsqu’elle ne répond pas aux attentes. »


Le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI) a déjà été largement critiqué. Aujourd’hui une nouvelle étude d’APC conclut que le sommet « n’est pas le meilleur point de départ pour une nouvelle action ». Alors pourquoi enquêter sur l’expérience des délégations des pays en développement et de la société civile au Sommet? Parce que, selon l’auteur, « il est toujours important de tirer des leçons de l’expérience – en particulier lorsqu’elle ne répond pas aux attentes. »


Le livre « Whose Summit? Whose Information Society? Developing countries and civil society at the World Summit on the Information Society » (Un Sommet pour qui? Une société de l’information pour qui? Les pays en développement et la société civile au Sommet mondial sur la société de l’information) commandé par APC et écrit par David Souter s’appuie sur des observations de participants, des entrevues approfondies de quarante intervenants clés et des études de cas dans cinq pays en développement.


Le SMSI est riche d’enseignements pour les pays en développement et les organisations de la société civile qui souhaitent exercer une plus grande influence dans les forums décisionnels internationaux sur les TIC. Certains illustrent les aspects réussis – comme le Forum multipartite sur la gouvernance de l’Internet (FGI), qui a été un grand succès, mais la majorité montre les failles – notamment la tenue sur quatre ans d’un événement portant sur un sujet qui évolue aussi rapidement.  


Lire l’introduction d’une page.


Entrevue d’APCNouvelles avec l’auteur de « Whose Summit? Whose Information Society? », David Souter, au sujet des constatations de l’étude et des enseignements que l’on peut tirer de cette expérience – pour les pays en développement, la société civile et de façon générale.


Télécharger le livre [en anglais].


Télécharger les versions courtes (faisant partie d’une série de documents de fond d’APC) en anglais, en espagnol et en français.


Cinq études de cas tirées d’expériences dans cinq pays en développement on été commandées pour le rapport principal [en anglais]:




Regions