Les technologies de l’information et de la communication (TIC) ainsi que les espaces numériques créés à cet effet sont des moyens d’expression et de mobilisation sociale sans précédent. Cependant, si le cyberespace est un espace qui facilite la liberté d’expression, le partage d’information, l’apprentissage et le divertissement, il n’est pas toujours un espace de sécurité. En effet, les agresseurs qui opèrent dans le monde réel, emploient
également ces technologies pour faire subir divers types de violences à leurs victimes. Les femmes et les filles en raison de leur vulnérabilité n’échappent pas à ces agresseurs qui, de diverses manières exercent des violences sur les femmes et les filles à travers le monde.
Les violences aussi bien physiques que sexuelles ou psychologiques comme le harcèlement se caractérisent par la difficulté qu’éprouvent les victimes à parler de leur agression, du fait du sentiment de honte, de la culpabilité qu’elles peuvent ressentir et de la peur de ne pas être crues. Peur d’autant plus justifiée dans le contexte du numérique où la preuve est encore plus difficile à apporter.
Cette étude a pour objectif de mesurer l’ampleur des violences faites aux femmes en ligne en République du Congo et mobiliser tous les acteurs pour la lutte contre ce phénomène.
Lire le rapport ici.
Ce rapport a été produit grâce à l’appui financier d'APC à travers une petite subvention.