Cette histoire de membre figure dans Rapport annuel 2017 d'APC dans le cadre de nos travaux sur un internet féministe.
Le 26 octobre 2017, WOUGNET a organisé une conversation au niveau national sur les Principes féministes de l'internet (FPI) dans le cadre d'un projet financé par le Fonds des Nations Unies pour l'égalité des sexes et une activité de renforcement des capacités financée par notre projet Women's Rights Online (Droits des femmes en ligne), étant donné que les deux visaient à cibler les décideurs politiques en soulignant la nécessité d’un internet inclusif. L'activité devait être l'occasion de discuter des recommandations politiques et des lacunes en matière de politiques relatives aux technologies de l'information et de la communication (TIC), et de tirer parti des récits des études de cas en tant qu'orientations pour la discussion. Elle comprenait des éléments de l’état de la gouvernance de l’internet en Ouganda, tout en soulignant les implications des lacunes politiques sur les droits des femmes en ligne et l’autonomisation numérique.
Les Principes féministes de l'internet sont une discussion et un débat continus sur les principes proposés pour guider les cadres juridiques du secteur des TIC tout en poussant à intégrer une composante forte de l'égalité des sexes et une approche des droits de l'homme. Les recommandations du rapport de 2015 sur les droits des femmes en ligne et le plan d’action en cinq points partagent également le même objectif, l’accent étant mis sur l’accès à internet pour tous et la nécessité de politiques et de lois sur les TIC inclusives. Cette activité a attiré des participants de diverses institutions, notamment des chercheurs, des étudiants et des membres du personnel de l’Université de Makerere, du Syndicat national des femmes handicapées, du Réseau I-freedom et de NITA-U, entre autres.